Les Folandes sont riches : les terres sont généreuses, les techniques agronomiques bien développées, le commerce compense de façon efficace les manques de certaines îles. A l'exception de Verou (et Borêne dans une moindre mesure), la densité de population est très faible. Il y a des endroits vides (ou qu'on croit vides !) de gens. Les guerres sont assez peu fréquentes car les gens des Folandes sont pacifiques et il y a peu de guerres dévastatrices. Les Verougues sont des colonisateurs, pas des pillards : quand ils s'emparent d'une ville ou d'une terre, ils ne vont pas la détruire mais au contraire la presser doucement comme une orange, pour en tirer le maximum. (Le prochain texte du guide des Folandes sur Verou éclaircira bien des choses sur ces chers Verougues)
La vie y est donc plaisante (sauf sur Borêne -mais là je me suis lâché un peu- et sur Verou -les explications viendront plus tard-) . Il y a plein d'endroits vraiment agréables pour ne pas dire paradisiaques : Libreterre, Havredoux, Miato (voir ici et là). Lanareta n'est pas désagréable et il y a d'autres endroits (Rahajida, Mina Roka, Verlande et son sens élevé de l'hospitalité) fort attachants dont la description viendra. Même les îles du nord, au climat rude, ont leurs charmes (leur description viendra aussi...)
En terme de niveau technologique, personnellement, je vois les Folandes à une époque de la fin du moyen-âge, début renaissance (mes aventuriers ont inventé la poudre !) mais il est possible de faire autre chose. Une chose est sûre, c'est que le niveau est très variable selon les îles.
Il est fondamental de ne pas placer les vieux schémas de sociétés médiévales (Une fois de plus, Borêne est une exception). Les sociétés sont souvent auto-gérées, à bases de petites communautés paisibles vivant en harmonie (et c'est cette harmonie que les verougues viennent bousculer). La noblesse est une notion qui n'existe pas en plein d'endroits !
Les dieux sont présents mais leur influence est parfois très peu importante. Il y a des sociétés complètement athées (ou agnostiques, comme vous voudrez). La philosophie de la plupart des habitants est de vivre heureux ici et maintenant et de ne pas attendre un hypothétique paradis. Il est donc possible de placer des cultes animistes en certains endroits. Pour moi (vous pouvez l'envisager autrement), il n'y pas d'évangélisation du culte de l'Unique à grands coups d'épée dans la tronche, mais une action beaucoup plus subtile et moins violente.
L'or est souvent méprisé. Les marchands qui réussissent sont ceux qui prennent des risques, pas ceux qui vont jouer sur des pénuries artificiellement entretenues
Les servants de l'Unique constituent une sorte de force de casques bleus assez efficace.(Pourquoi pas un groupe d'aventuriers servants ?)
La vie y est donc plaisante (sauf sur Borêne -mais là je me suis lâché un peu- et sur Verou -les explications viendront plus tard-) . Il y a plein d'endroits vraiment agréables pour ne pas dire paradisiaques : Libreterre, Havredoux, Miato (voir ici et là). Lanareta n'est pas désagréable et il y a d'autres endroits (Rahajida, Mina Roka, Verlande et son sens élevé de l'hospitalité) fort attachants dont la description viendra. Même les îles du nord, au climat rude, ont leurs charmes (leur description viendra aussi...)
En terme de niveau technologique, personnellement, je vois les Folandes à une époque de la fin du moyen-âge, début renaissance (mes aventuriers ont inventé la poudre !) mais il est possible de faire autre chose. Une chose est sûre, c'est que le niveau est très variable selon les îles.
Il est fondamental de ne pas placer les vieux schémas de sociétés médiévales (Une fois de plus, Borêne est une exception). Les sociétés sont souvent auto-gérées, à bases de petites communautés paisibles vivant en harmonie (et c'est cette harmonie que les verougues viennent bousculer). La noblesse est une notion qui n'existe pas en plein d'endroits !
Les dieux sont présents mais leur influence est parfois très peu importante. Il y a des sociétés complètement athées (ou agnostiques, comme vous voudrez). La philosophie de la plupart des habitants est de vivre heureux ici et maintenant et de ne pas attendre un hypothétique paradis. Il est donc possible de placer des cultes animistes en certains endroits. Pour moi (vous pouvez l'envisager autrement), il n'y pas d'évangélisation du culte de l'Unique à grands coups d'épée dans la tronche, mais une action beaucoup plus subtile et moins violente.
L'or est souvent méprisé. Les marchands qui réussissent sont ceux qui prennent des risques, pas ceux qui vont jouer sur des pénuries artificiellement entretenues
Les servants de l'Unique constituent une sorte de force de casques bleus assez efficace.(Pourquoi pas un groupe d'aventuriers servants ?)
La magie est assez peu puissante, sauf sur Libreterre, voire absente dans certains endroits et très utilitaire. Libreterre est l'exception qui confirme la règle et les edrulains n'ont pas envie (mais alors pas du tout) de laisser diffuser les éléments les plus puissants de cette Magie vers des intérêts contraires aux leurs (Et ils le font en sélectionnant soigeusement les non-libreterrans à qui ils l'enseignent. Parfois, ils se trompent dans leurs choix d'apprentis. Pourchasser ces renégats peut être source de pas mal d'aventures épiques....).
Un ami qui a terminé "la Ballade de Fronin" me faisaut remarquer à propos des Edrulains : Ils ont tout : la Magie, les Dragons... Certes, mais ils sont très peu nombreux (note personnelle : penser à détailler cela sur le texte sur Libreterre) et parfois fort peu motivés pour aller se battre pour d'autres causes que Libreterrre (Oui, il y a des Libreterrans très égoïstes !).
Bien sur, la source majeure d'aventures est la lutte contre les verougues. Mais comme me le faisait brillamment remarque mon ami Grümph lors d'une conversation à ce sujet, ils ont leurs raisons (qui ne sont pas des excuses pour autant) d'être aussi méchants liées à leur histoire et à leur société et la source d'une campagne pourrait être de les aider à régler leurs problèmes chez eux (tâche colossale !). L'exploration des terres vides, comme je l'ai dit plus haut, est une autre source d'aventures.
Un dernier point : La description que je fais des Folandes dans tout ce blog est celle valable 30 ans après la fin de la campagne du logran, Là ou commence la Ballade de Fronin qui bouleverse pas mal les Folandes (et vous n'avez encore rien vu !). Vous êtes bien sur totalement autorisé à imaginer une autre suite de l'histoire que celle que j'ai développée dans ce livre !
2 commentaires:
Vraiment intéressant, je crois que je vais m'aventurer sur ton blog pour y lire tes histoires^^
Good readingg your post
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