Dernière ligne droite et, selon la tradition désormais bien établie, ça s'accélère !
Vous avez gravi tous nos paliers en moins de temps qu'il ne faut à une troupe de Friponnes pour ridiculiser une compagnie de légionnaires verougues ou de soudards borênans ou déjouer les plans d'un banquier de BeauxMâts.
Je peine à descendre du petit nuage de félicité sur lequel vous m'avez propulsé.
Merci, merci, merci, merci, merci et encore merci à tous les souscripteurs et ceux qui ont communiqué autour de ce projet de permettre à ce jeu d'exister sous la forme la plus aboutie qui soit !
Merci à Jahyra et à Michel pour leur soutien et leur travail.
Merci à Matthieu et à Benoît pour leur travail dans l'ombre.
Nous n'allons pas nous arrêter là et espérons que tout ce que nous allons désormais imaginer répondra à vos attentes. N'hésitez pas à nous faire de part de vos envies, de vos délires, de vos rêves les plus fous !
Je pars en vacances demain pendant lesquelles je me coupe (enfin, je vais essayer !) de la toile. Mais j'aurais avec moi cahier et crayon et je serais surpris qu'ils restent au fond de mon sac. Le bon Chatlife Haroun el Pouchat, habile souverain de la ville de Miato, est fort mal conseillé par un certain Meeowznogoud (ou Meeowznocool, on verra), il y a sûrement là une idée à creuser !
Il y a encore des choses à dire dans la jeunesse de Néalanne telle qu'elle est décrite dans le recueil de nouvelles Friponnes, que la plupart des souscripteurs recevra. Quand a-t-elle rencontré Loran, le servant de l'Unique ? Est-il vrai qu'elle a rencontré l'héritier du trône de Borêne ? Que s'est-il passé près de Fort-la-Neige durant l'hiver 58 ?
Il semblerait que Faldelle et Fanëol, les jeunes apprentis rencontrés dans Face aux Démons, aient fait quelques siennes pendant les jours qui ont précédé une élection à Serk, dans les communautés verougues libres, dans les années 70...
En bref, j'ai de quoi faire.
Merci de m'en donner l'envie.
Bel été à vous, les Friponnes !
Je vous laisse en compagnie de Dame Michu qui ne semble pas partager mon enthousiasme... Allez, Mme Michu, un petit sourire !
Critique littéraire de Comme un petit coquelicot, mon ange
Il y a 4 jours
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